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PIAF
DANS SA LUMIÈRE
Intrigue

PIAF DANS SA LUMIÈRE

La légende et le vertige, l’ombre et la vérité

 

Anna Renouprez — chant et jeu
Cathy Pauly — accordéon et arrangements
Pierre Boigelot / Fred Safin — contrebasse
Laurent Kaye — Lumière
Boris Gangolf (B) / Didier Lamaze (F) — Son

Céline Colassin & Anna Renouprez — texte et mise en scène

On croit connaître Édith Piaf : la rue, l’amour tragique, la robe noire, les chansons devenues patrimoine. Mais la légende s’est écrite au prix d’ombres et de falsifications.
Piaf dans sa lumière n’est ni un hommage ni un procès : c’est le récit brut d’une femme qui inventa son propre mythe, éclipsa ses rivales, brûla ses amours et paya le prix de sa gloire.
Ici, pas de sainte ni de martyre : Piaf telle quelle, entre vertige, excès et vérité.

Texte d’intention


Piaf dans sa lumière n’est ni un concert, ni un hommage. C’est un théâtre musical, un récit à l’acide et à l’eau de Cologne qui démonte la légende pour retrouver la femme. Ici, les chansons ne sont pas des numéros : elles deviennent preuves, répliques ou contrepoints, au service d’une biographie sans fard, sombre et parfois drôle. Entre éclats et chutes, entre
icône et femme de chair, Piaf surgit enfin dans toute sa complexité — non pas intouchable, mais intensément humaine.
On croit savoir sa naissance dans la rue, ses amours tragiques, sa robe noire, ses chansons devenues patrimoine. Mais Piaf, comme toute légende, s’est écrite au prix d’oublis, de raccourcis, de falsifications.

Alors pas de statue, pas de sainte, pas de larmes convenues. Piaf telle qu’elle fut. Telle qu’on l’a inventée parfois, mais surtout telle qu’elle a inventé son propre mythe.
Car avant Piaf, il y avait Damia, Fréhel, Lucienne Delyle, Marie Dubas... des femmes qu’elle a éclipsées. Avant Piaf, une mère star, réduite à une clocharde. Pendant Piaf, la rue, les cabarets louches, les compromissions, les fulgurances, les hommes aimés, utilisés, détruits, sublimés. Après Piaf, des dettes, des morts, et surtout une légende qui nous revient toujours,
comme une chanson qu’on croit avoir oubliée.
Piaf dans sa lumière, c’est l’éclat et l’ombre. La gloire et la chute. La vérité derrière la légende.
Ni procès, ni canonisation : un récit qui balance le mauvais comme le bon, pour retrouver ce qu’il y a de plus fascinant chez Édith Piaf — non pas son intouchabilité, mais son humanité.
Un récit sans fard qui balance le mauvais comme le bon : Piaf enfin, dans toute sa lumière.
Ni sainte ni martyre : Piaf telle quelle, entre gloire, excès et vérité.

Concept

Un récital-documentaire qui raconte Édith Piaf sans filtre et sans fard : la légende, oui, mais aussi les zones d’ombre, les contradictions, les excès, les drames et les ruses. Ni hommage, ni imitation : un récit chanté où chaque chanson devient preuve, contrepoint ou réplique, et où la narration remet « l’église au milieu du village ».
 

Argument / Synopsis
 

Le spectacle suit Piaf depuis ses origines dans la rue et ses premières influences (Damia, Fréhel), jusqu’à son apogée mondiale et sa chute. Chaque chanson devient un témoin, une preuve ou un contrepoint au récit. Au fil des scènes, se dessinent la mère éclipsée, les rivales oubliées, les amours tragiques, les compromissions, l’icône immortelle. Entre narration et musique, c’est un voyage sensible où l’ombre et la lumière se croisent, révélant Piaf dans son humanité.
 

Durée : environ 1h30 avec ou sans entracte.

Un spectacle George Mac Gregor Productions.

Images

Chant, jeu, écriture: Anna Renouprez

Accordéon: Eve Willems / Cathy Pauly

Vidéos

© 2025 ANNA RENOUPREZ

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